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Freud, Jung ou Lacan?

Ça va, j´avoue, il y a de la résistance. Est-ce le thème, la formule, la cadence qui me nuit? Je n’en sais rien.  Je ne ressens pas d’intérêt, pas de joie, pas d’enthousiame à l’idée de m’y mettre. Blocage. On peut même dire Blocages!!!
Mes registres, réels, symboliques et imaginaires, me font défaut, je n’y trouve plus mon identité objet petit a alors que mes bibliothèques bayardiennes débordent.

Allongée, je ne pipe mot. Déprime, psychose, névrose, comatose en vrac.
Non, je ne jouerai pas le jeu de mon mal être, je ne cesserai pas malgré tout ça.
Quoique … Je n’ai plus aucun désir… ah mais si, un seul, peut-être.  Un tout petit, bien caché au fond de ma conscience, un bien mince délire s’exprimant dans la mélancolie, l’ancolie sans colique, la lie tachant mes lèvres, à défaut du sang violacé des baisers morsures laissé là accidentellement dans le consentement tacite de potentielles blessures passionnelles. 
Ah non… pas cette envie de pénis, quand même, Freud parlait certe pour lui-même! Les pénis, très peu pour moi depuis un bon moment… on en revient, et ce n’est pas pour les remplacer par des vulves! Et toi? Envie de poupon? Tout ça, c’est trop primaire! Aujourd’hui, même la psychiatrie de base s’en méfie! 
Non, envie de rien… la tête et le coeur en bonne entente, je n’ai ni a raisonner l’un, ni à passionner l’autre. 

Mindfulness


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