Tous inquiets pour leur futur, ils se concertent et se demandent quelles actions directes ils pourraient entreprendre afin de contrer cet empêcheur de tourner en rond. Cet être ne semble connaître le bonheur que dans la destuction de son milieu et la douleur de son entourage. Il apparaît comme l’incarnation du mal. On entend les cris de ses enfants jusque très loin dans les bois.
Les bêtes comprennent la chasse, ils la pratiquent dans un but de survie, pour se nourrir. Ils y vont à pattes nues, sans autre arme que ce dont la génétique les a pourvu: crocs, canines et autres ivoires buccaux, serres, pattes et griffes, cornes s’il le faut. Et ça se passe dans le respect de la victime, ce n’est jamais un sport et on ne connaît pas les provisions pour le long terme.
Non, il n’y a pas de cruauté mais pas de pitié non plus, qu’un simple besoin à pourvoir: la survie.
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