L’atelier de cette semaine demande que l’on crée une atmosphère, un lieu, une description de l’environnement, qu’on l’habite, en parle comme d’un espace connu. Puis on doit y invoquer un personnage, et celui-ci doit se présenter tout en généralités et clichés… un archétype de son genre… parce que comme le dit Foucault, il faut aller au-delà du réel, et ignorer les limites du monde... quand le texte le demande. Je ne sais pas si mon texte le demande, mais je veux bien me prêter au jeu! Pour se faire, nous avons un exemple tiré du premier roman de Dostoïevski, " Les Pauvres gens ", que je ne reproduirai pas ici, ce serait gâcher le plaisir, mais sachez qu'il s'agit d'un pauvre homme monologuant sur ce que sont les pauvres… et c'est édifiant! J'ai choisi à mon tour, de faire se croiser un arrêt de bus et une sportive, par une torride journée d'été. Image par Wolfgang Eckert de Pixabay Midi juillet, un arrêt de bus. Même l’herbe sèche sue sous les a...
fictives ou pas